Avant-propos

Avant-propos

Quelqu’un a dit : « Les traductions sont comme les femmes ; si elles sont belles, elles ne sont pas fidèles ; si elles sont fidèles, elles ne sont pas belles. » Ce n’est pas vrai pour les femmes, mais c’est vrai pour les traductions. Après avoir longtemps tourné autour du vase, je me suis décidé à revenir à mon premier amour : la « vieille » Segond. La Semeur 2000, que j’ai préféré durant quelques années est plus facile et plus agréable à lire, plus littéraire aussi, sans être pompeuse, tandis que la traduction Louis Segond, un peu « brut de fonderie, » a l’avantage d’être plus proche du texte original. Le poète que je suis aurait donc de bonnes raisons de préférer la traduction du Semeur, mais, lorsqu’il s’agit d’étudier le message divin, faute de connaître l’hébreu et le grec, j’ai décidé de privilégier la fidélité face à la beauté.

Le lecteur trouvera dans ces chapitres des réflexions autour de la Bible. Les prédicateurs pourront, s’ils le désirent, utiliser ces textes, à la seule condition de mentionner leurs sources.

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